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Danse à Cybèle et Tempio di Cibele, 1976

Vue de l’exposition Françoise Sullivan. Les années 1970, 2021, Galerie de l’UQAM
Photo: Paul Litherland

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Tempio di Cibele
4 de 13 épreuves numériques couleur produites en 2020 (photogrammes depuis le film super 8)
Collection de l’artiste

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Danse à Cybèle
Extrait du transfert numérique du film super 8
Collection d’œuvres d’art de l’Université du Québec à Montréal

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Extrait d’une visite commentée de l’exposition Françoise Sullivan. Les années 1970 avec Françoise Sullivan et Louise Déry, 2021, Galerie de l’UQAM

Danse à Cybèle et Tempio di Cibele, 1976

Transfert numérique produit en 2020 d’un film super 8, couleur, sans son, 2 min 5 s et 13 épreuves numériques couleur produites en 2020 (photogrammes depuis le film super 8)
27,3 × 25 cm (chacune)
Conception, performance et réalisation: Françoise Sullivan
Image: David Moore
Montage: Wayne Cullen
Collection d’œuvres d’art de l’Université du Québec à Montréal

En découvrant les abords du temple de Cybèle, à Rome, en 1976, Françoise Sullivan improvise une danse, dans l’esprit de son œuvre chorégraphique de la fin des années 1940, alors qu’elle développait un projet de création sur les quatre saisons. À Rome, elle est avide d’explorer les sites archéologiques, l’architecture des temples et les divers états de la ville, si mouvementée sur les grandes artères et particulièrement paisible à l’abri des parcs et des jardins. Elle explore les ruines du Palatin où se trouvent, sous des bosquets de chênes verts, les vestiges du temple élevé à Cybèle, une déesse qui personnifiait la puissance de la nature. C’est là que l’artiste restitue cette écriture du corps faite d’accents impulsifs, impromptus et très poétiquement harmonisés à la nature, typiques des chorégraphies sur les quatre saisons, dont Danse dans la neige, conçues et partiellement réalisées en 1947 et 1948 (Les Saisons Sullivan).